La Boucle Noire. Un nouvel itinéraire de randonnée balisé à Charleroi !
Initiée par Cheminsdesterrils et les Sentiers de Grande Randonnée, soutenu par l’Eden, la Boucle noire chemine sur 22 kms entre le centre-ville de Charleroi, Marchienne-au-Pont, Monceau-sur-Sambre, Roux-Martinet, Marchienne-Docherie et Dampremy, entre la Sambre et le canal Charleroi-Bruxelles.
La Boucle noire s’affranchit des barrières territoriales de la ville, longe les anciennes cathédrales de l’industrie lourde, serpente dans une forêt réinventée,s’invite dans un parc à l’anglaise, s’extasie au sommet des terrils. Un peu curieuse, elle passe à travers les murs, descend dans les jardins et les friches des quartiers de banlieues, traverse un tunnel glauque, consacre des terrils-balcons sur un grand paysage.
Le parcours à pied tient de l’exploration urbaine et se différencie des itinéraires touristiques habituels. Un parcours poético-punk qui questionne les contrastes d’une ville industrielle en mutation.
Comptez sur une journée complète pour profiter de votre randonnée et munissez-vous de la nouvelle carte du parcours (gratuite ) disponible: à l’Eden, Bd Jacques Bertrand à la Maison du Tourisme, Place Charles II
Comme pour tout itinéraire, n’hésitez pas à consulter les mises à jour du topo-guide.
Chacun chemine sous sa propre responsabilité. Les parcours GR et GRP sont entièrement balisés sur des voiries publiques. Comme tout parcours, celui-ci peut connaitre des chantiers pouvant dévier ou entraver momentanément le cheminement.
Une collaboration cheminsdesterrils – Sentiers de Grande Randonnée – EDEN -CB
DOCUMENT
(Ré)générer les communs par la pratique physique du territoire, le cas de la Boucle noire à Charleroi
Nouveau concept à Charleroi , le GR métropolitain est une boucle pédestre de 54 km autour de la ville.
Jamais loin des transports en commun, le tracé alterne les paysages du périurbain: champs et prairies, bois et forêt, bourgs anciens, friches industrielles, parcs urbains, réserve naturelle, chemins et sentiers, vallons et vallées tout en intégrant les éléments contemporains du paysage.
Le balisage est en cours de réalisation. Les cartes, tracés, traces GPX seront disponibles en 2023.
une collaboration Mai’tallurgie 2022/ Bureau Paysage/ cheminsdesterrils Mai 2022 ______________________________________________________________________________________________________________
2022-2023 FORMATION UNIVERSITAIRE A L’ANALYSE DU PAYSAGE
Module 1: 22, 26 et 29 avril 2022
Module 2 : 14, 17, 21 et 24 juin 2022. Module 3: 30 septembre, 4 et 7 octobre 2022.
Une société marque son territoire au cours du temps par ses activités, par sa relation à son environnement, par son genre de vie. Le paysage est l’image la plus familière que nous avons du territoire. C’est donc, par excellence, la porte d’entrée à privilégier pour permettre à chacun·e de comprendre son cadre de vie… pour autant qu’on en ait les bonnes clefs !
Août 2021 Nouvelle édition du topo-guide du SENTIER DES TERRILS GR412
La réédition 2021, profondément remaniée vous emmène sur la chaîne des terrils wallons, de Bernissart à Blegny-Mine, sur 307 kilomètres de randos originalesdont la Boucle noire à Charleroi. Toutes les infos sur le site des Sentier de Grande Randonnée . https://grsentiers.org/topo-guides/33-gr-412-sentier-des-terrils-9782931078129.html
PATRIMOINE MATRIMOINE ROUX MARTINET—LES FEMMES DANS L’HISTOIRE SOCIALE—BALADE CONFERENCE—
Les femmes sont la moitié de l’humanité. Quel que soit le fil conducteur que l’on tire au sein du territoire, le résultat est le même, peu de personnages féminins sont cités dans l’itinérance mémorielle des rues, places, sites, terrils. En un seul clic, on constate que l’on en sait plus sur l’histoire des hommes, dans ce pèlerinage géographique. Une ville, c’est comme un corps, aurait-on oublié celui des femmes?
Au cœur des sentiers de l’ancien site minier du Martinet, il se dit d’évoquer les traces des femmes qui ont fait l’histoire sociale, de la persistance du travail féminin souterrain, de la mise en lumière du parcours des pionnières « Femmes du Peuple » et de toutes les autres militantes, leurs combats, de leurs places conquises et arrachées. Sur la carte d’un ancien site minier, sur cet espace unique de transformation sociale, leur vibrante histoire est livrée. Durée : 2 h
Balade-conférence donnée par Martine Piret piret.martine23@gmail.com
Juin 2021 Nouvelle édition de la carte de la Boucle noire !
Quel avenir pour les vestiges sidérurgiques à Charleroi? Octobre 2019: Un colloque à Charleroi sur le devenir des hauts- fourneaux ! Quid du HF4 de Marcinelle? Eden Charleroi. https://www.facebook.com/events/349419185733522/
Repères dans le paysages de villes postindustrielles comme à Charleroi et Liège, les vestiges de la sidérurgie sont des marqueurs de territoire. Ils portent la mémoire des hommes, la mémoire du sol, des luttes sociales et du déploiement économique. Les bassins voisins : la Ruhr, la Sarre, la Lorraine, le Luxembourg ont tous gardés des repères significatifs de l’industrie lourde afin de les recycler en parcs paysagers, musées, villes nouvelles ou espaces économiques.
Point de départ de la révolution industrielle sur le continent, la Wallonie ne peut faire l’impasse sur une réflexion approfondie concernant le devenir des friches sidérurgiques. Les dynamiques citoyennes existantes, l’identité du territoire, les enjeux urbanistiques et économiques sont au cœur du débat.
L’Eden propose une série de 3 soirées sur ce thème avec des intervenants-témoins, citoyens et scientifiques sur ce qui se fait dans le monde en matière de valorisation des friches industrielles.
En préalable, nous vous invitons à consulter l’ouvrage de Noémie Drouguet et Philippe Bodeux: Vive les hauts-fourneaux!
Avec des contributions de Pierre Bailly, Nicolas Belayew, Dimitri Belayew, Nicolas Bomal, Jacques Crul, Jonathan De Cesare, Jean-Louis Delaet, Luc Delporte, Jean-Luc Deru, Jean-Claude Dessart, Gilles Durvaux, Fifi, Caroline Lamarche, Marcel Leroy, Sophie Lhoest, Pierre Machiroux, Sylvain Marbehant, Michaël Matthys, Thierry Michel, Luca Piddiu, Sylvain Piraux, Cécile Piret, Jean-Louis Postula, Cecilia Raziano, Anne Stelmes, Pierre-Yves Thienpont, Elodie Timmermans et Michel Tonneau.
Juillet 2018. Un été sec et caniculaire favorise des combustions spontanées sur certains terrils. Photo: sentier de la Boucle noire GR412 terril St-Théodore est.
Août 2018. Le balisage de la Boucle noire a tenu le coup! (GR412 Sentier des Terrils). Et la végétation reprend le dessus. Photo: balise de la Boucle noire GR412 sur le terril Bayemont, août 2018.
Juillet 2018: les terrils wallons pourraient être enfin considérés comme des zones touristiques ou culturelles plutôt que comme des terrains industriels comme c’est le cas actuellement. Pour une meilleure reconnaissance et mise en valeur des terrils, exit la classification économique des années 80 ! La Région wallonne planche sur une nouvelle classification qui prendra en compte leur intérêt patrimonial, social ou touristiques. Photo: le terril du Boubier à Châtelet depuis la rue de Châtelet à Couillet. https://www.rtbf.be/info/regions/detail_un-projet-de-nouvelle-classification-des-terrils-wallons-a-l-etude?id=9976449
Mai 2018. Une boîte aux lettres sur le terril St-Théodore Est ! Lors de l’événement Boucle noire 2018, les marcheurs ont pu envoyer des cartes postales créées et estampillées Carolopostale depuis le terril le plus haut! Une intervention artistique de la Carolopostale! https://www.6001isthenew1060.be/
Des invités sur la Boucle noire! Transhumance sur le terril Saint-Théodore à Marchienne! L’asbl Ecopattes mène son projet de gestion de l’arbre à papillon. A découvrir tous les jours jusqu’au 15 août !
Super boulot! Ils ont faim ces chevreaux! Ca se passe tous les jours par beau temps (les chevreaux restent à l’abri en cas de pluie) jusqu’au 15 août! https://www.facebook.com/ecopattes/
Concert de Kermesz à l’Est accompagné de la troupe Tak Tak lors de l’événement Boucle noire sur le site du Martinet le 2 octobre 2016. https://www.facebook.com/Sentiers.be/photos
Les 12 et 13 septembre 2015, pour la seconde fois en compagnie de Martine Piret, paysagiste en aménagement du territoire, nous avons invité le public sur le sentier de randonnée de la chaîne des terrils de Charleroi.
Ce nouveau tronçon intègre la nouvelle boucle du GR412 dite « Boucle noire « : un parcours inédit, des sentiers réhabilités, des paysages à couper le souffle! Voir la page https://cheminsdesterrils.wordpress.com/terrils/
Une collaboration cheminsdesterrils- Eden Charleroi.
TRAVAUX DE MARQUAGE et de BALISAGE de la boucle GR Boucle noire sur la chaîne des terrils
Une initiative de cheminsdesterrils.be pour la création d’un sentier de randonnée à travers la chaîne des terrils de Dampremy et Marchienne-Docherie.
Préparation du tronçon. On y est! La nature est à son apogée, les terrils sont des jardins à partager. Ils sont les symboles d’une histoire à se raconter et à perpétuer.
Juillet 2015. Le travail est en cours mais vous êtes les bienvenus!
En l’absence de supports de balises sur les grands espaces, nous plaçons des bornes.
Une trentaine environ….une paille!
On explique aux enfants des quartiers, en mangeant des fraises des bois!
Le parcours balisé sous la dénomination GR412 traversera la chaîne des terrils de Dampremy-La Docherie par des lieux que la nature a gardé secrets pendant des décennies. Il empruntera les crêtes des terrils pour des panoramas uniques.
Un sacré coup de main nous est venu de la régie de Quartier pendant l’été 2015. Coup de chapeau aux associations locales qui portent les projets sociaux et merci à eux pour la reconnaissance de notre projet GR dans les démarches de la valorisation du cadre de vie. Un jour de sentier, huit jours de santé ! selon le dicton des marcheurs.
Lors des fêtes de Wallonie 2014 à Charleroi, en compagnie de Martine Piret (paysagiste), nous étions invités par l’Eden à emmener le public sur notre projet de GR à travers les sentiers et les ruelles de la chaîne des terrils.
A la découverte d’un cheminement entre les terrils de Dampremy et de La Docherie, entre mémoire et patrimoine, des itinéraires de promenades et un sentier de Grande Randonnée seront accessibles à tous et balisés prochainement…à suivre!
Décembre 2013: Un an après l’extinction définitive du haut-fourneau n°4 de Carsid, une dynamique se constitue autour d’un comité de citoyens, d’historiens, d’artistes, d’anciens ouvriers et ingénieurs de la sidérurgie carolo pour la sauvegarde du haut-fourneau et des vestiges significatifs de la métallurgie lourde à Charleroi en tant que patrimoine industriel. Voir la page Facebook du comité de sauvegarde: https:///pages/Sauvons-le-haut-fourneau-4-de-Charleroi/389385467863114?fref=t
Octobre 2013: Invitation à la découverte des travaux de réhabilitation du MARTINET, ancien charbonnage du puits n°4 de Monceau-Fontaine à Monceau-sur-Sambre. Le quartier du Martinet franchit une nouvelle étape dans la sauvegarde de son environnement proche où l’histoire et le patrimoine sont des socles de mobilisation et de concertation pour l’aménagement futur du territoire. Un exemple en matière de citoyenneté participative. https://cheminsdesterrils.wordpress.com/parcours/les-terrils-du-martinet/.
Juin 2013. Faire du vin sur le terril n°7 Mariemont-Bascoup, les précurseurs des années 70 ont enfanté des vignerons passionnés. http://www.tervigne.be/?page_id=14
Mars 2013: un pays paysage, lunaire, énigmatique, là où on ne l’attend pas, sur la chaîne des terrils à Marchienne Docherie!
Décembre 2012: en sursis depuis 2008, le haut-fourneau n°4 de Carsid est définitivement à l’arrêt ! La silhouette du haut-fourneau, visible de toute la région, symbolisait à elle seule tout un pan de l’économie carolorégienne. http://www.postindustriel.be/hfcarsid1.html
Décembre 2012: il neige sur les belles-fleurs du Cazier, inscrites au Patrimoine mondial de l’Unesco depuis juillet 2012. La Mémoire des travailleurs inscrite au rang du Patrimoine. http://whc.unesco.org/fr/list/1344
Novembre 2012: Ingrid Dubach-Lemainque de la radio Suisse romande nous accompagne sur le terril Bayemont-Saint Charles. Reporter radio indépendante, elle nous a rejoint à Charleroi pour une balade sur le GR412 des terrils dans le cadre d ‘un reportage autour du patrimoine minier et sa reconversion. Arrêts et explications autour du puits n° 25, sur le terril Bayemont-Saint Charles, aux pieds des terrils du Martinet, le long des quais de la Sambre industrielle et au charbonnage du Bois du Cazier.
La Transterrilienne. En fait, ce mot n’existe pas, ou plus. Il ne figure ni sur les cartes ni dans aucun document officiel ou ouvrage sur le patrimoine industriel. Il a pourtant fait la Une.
Rarement, on aura vu des mots et expressions nouvelles émerger dans la continuité d’une idée et se voir aussitôt adoptés par la presse qui en fait des titres et y consacre des articles. C’est pourtant de cette idée, ébauchée en 2004 à Aiseau (Châtelet), que démarre un sentier GR des Terrils tel que pratiqué aujourd’hui.
La Chaîne de terrils wallons, les petites Alpes en Sol Mineur, traversées par une Transterrilienne, voilà les mots-clés de cette histoire à son commencement.
Revenons sur les étapes qui nous ont amenés à regarder « nos » terrils d’en haut ! Cette idée-maîtresse d’imaginer des continuités piétonne entres les terrils dans un grand paysage, d’en promouvoir la richesse patrimoniale et historique et surtout de relier entre eux les bassins miniers par des visites-découvertes balisées est émise par Olivier Rubbers à la Ferme des Castors à Aiseau au début des années 2000.
Mis sur les rails, le projet reçoit le soutien des autorités et institutions publiques wallonnes, des instances de la Culture et du Patrimoine. Avec l’aide d’associations sœurs, Espace Terrils asbl entreprend un travail de reconnaissance sur carte. Le remarquable site Internet de l’association (disparu dans sa forme initiale) propose des fiches de localisation des terrils wallons.
En 2004, la presse régionale donne un large écho à l’inauguration du balisage d’un sentier des terrils qui va de Bernissart au Plateau de Herve, appelé la Transterrilienne.
Sur le terrain, la signalétique comporte un V qui symbolise à la fois le V de la victoire et un terril à l’envers. Mais face à un tel projet, la tâche sur le terrain est énorme et les moyens humains sont dérisoires. Devant un pareil défi, l’enthousiasme d’une poignée de passionnés ne suffira pas.
Du côté des institutions, le train de la reconnaissance paysagère des terrils est en marche !
Dès les années 90, sous l’impulsion de la Conférence de Rio (1992) qui se préoccupe de la banalisation et de la mondialisation des paysages, on se met à regarder les terrils autrement.
De crassiers, voire de poubelles, déniés, stigmatisés, les terrils sont désormais au centre de nouvelles perspectives : refuge de biodiversité, ils sont devenus des poumons verts pour la ville, des repères dans le paysage, des symboles de la mémoire industrielle pour toute une région.
Dans les années 90, le projet RaVel (Réseau Autonome des Voies lentes) se met en place. Concrètement, l’idée d’utiliser l’important réseau ferroviaire industriel désaffecté en vue d’y créer un réseau de circulation privilégiant la mobilité douce est développé par la Région wallonne.
En 1994, le département de l’Aménagement urbain de la ville de Charleroi publie « BALADES A CHARLEROI: terrils, parcs, bois, anciennes carrières, etc... ». On y évoque déjà l’idée de « chaîne des terrils ». Dans une perspective de mise en valeur de l’environnement, on y découvre des itinéraires utilisant d’anciens tronçons de voies ferrées et de lignes vicinales désaffectées et promises au développement futur des RaVel, utilisant également des sentiers, ruelles, chemins de halage et de remembrement.
Ces nouvelles balades, totalement originales, tiennent lieu d’explorations urbaines. Certains tronçons, bien connus des riverains, s’avèrent être de précieux raccourcis. Ils offrent une nouvelle vision de Charleroi. L’idée de traverser les localités en reliant les terrils les parcs, les espaces verts, fait peu à peu son chemin, même si le travail réalisé reste méconnu du grand public.
Dans les années nonante, la ville de Charleroi publie la brochure « ESCAPADES à CHARLEROI« . On y trouve des itinéraires de balades balisées autour des terrils à Jumet, Ransart, Marcinelle et Gilly. Le balisage subsiste ça et là, il s’agit d’une flèche directionnelle en relief sur le trottoir, elles sont aujourd’hui rares et quasi invisibles …
En 2006, la Ville de Charleroi et Espace Environnement publient dans « PLANIFIER UNE NOUVELLE VALORISATION DES TERRILS » les potentialités du paysage minier, son originalité, les constats et observations sur le terrain, la concrétisation du maillage vert (le RaVel 3-La Houillère) et du maillage bleu (le halage le long de la Sambre). http://www.espace-environnement.be/pdf/amver_terrils_planif.pdf
Pendant ce temps, le projet Transterrilienne tarde à se concrétiser. Après plusieurs contacts entre l’association « Espace Terrils » et les Sentiers de Grande Randonnée, Olivier Rubbers accepte de confier entièrement le projet à ces derniers.
Les travaux de reconnaissance et les demandes d’autorisations sont lancés. Le parcours est composé de 32 tronçons empruntant majoritairement les ruelles, sentiers et venelles qui traversent les localités et côtoient les lieux de vie et de mémoire. Autant de voiries alternatives auxquelles s’ajoutent des portions de halage et de ces fameuses voies déferrées du RaVel.
Ce travail a représenté deux années de volontariat pour les membres des SGR. Actuellement, 21 personnes bénévoles se chargent de la maintenance du balisage sur le parcours et des adaptations du parcours liées à la modification des voiries ou des lieux traversés.
Photo 1: depuis le terril du Bayemont-St Charles à Marchienne Docherie. – Photo 2: Terril Hoegarde à Leernes depuis le siège n°1 à Fontaine l’Evêque. -Photo 3:Chaine de terrils depuis le terril de Bayemont. -Photo 4: sur le Ravel à Monceau. – Photo 5: au pied du terril des Viviers à Gilly. -Photo 6: le long du halage, le terril de Bonne Espérance 1 à Tergnée.
Sources: le Soir. Espace Environnement Charleroi. Terrils.be. Les Sentiers de Grande Randonnée.